Groupe de Réflexion SIDA (GRS)

Activités du groupe de travail

• Le GRS vise à favoriser les discussions et les échanges d’informations sur le VIH/sida et à valoriser le travail des équipes impliquées dans la recherche sur le VIH à l’Institut Pasteur et dans d’autres institutions telles que l’ANRS MIE et le CNRS parmi ses membres. Pour ce faire, le GRS organise une réunion bimestrielle autour d’un thème lié au VIH/sida qui concerne la recherche fondamentale (rétrovirologie, pathogenèse) ou la recherche appliquée (vaccinologie, antirétroviraux, immunothérapie, etc.).
• Il met également l’accent sur l’approfondissement des collaborations avec les chercheuses et chercheurs étrangers impliqués dans la recherche sur le VIH/sida, en concertation avec l’ANRS MIE et la Direction internationale de l’Institut Pasteur. Les informations sur les réunions du GRS sont publiées en ligne afin de faciliter la participation des membres du réseau Pasteur et des réunions spéciales sont organisées par le GRS à l’occasion de la visite de scientifiques étrangers sur le campus parisien de l’Institut Pasteur.
• Le GRS contribue enfin à l’identification de nouveaux champs de travaux de recherche dans le domaine du VIH/sida et à la mise en place de programmes collaboratifs Pasteur dans le cadre d’actions de santé publique. Pour cela, le GRS organise une veille scientifique et des débats sur les thèmes d’actualité liés au VIH/sida lors de ses réunions bimestrielles.

Vecteur d’idées et d’échanges, le GRS a par exemple permis la rencontre des principaux membres du groupement de recherche Dynavir au CNRS. Créé en 2014 et soutenu par l’ANRS MIE, celui-ci s’intéresse aux interactions des rétrovirus avec le génome de leurs cellules hôtes.

Co-présidence

Membres du comité scientifique

Dernières actualités du groupe de travail

En 2025, le GRS a abordé les thématiques suivantes :

• L’approfondissement du profilage des ARN du VIH-1 – de l’épissage (étape de maturation de l’ARN par élimination de certains segments de l’ADN transcrit, appelés introns) à l’épitranscriptome (ensemble de modifications chimiques, ou marques, présentes chez certaines molécules d’ARN) – à l’occasion du séminaire du 17 juin, avec Arnaud Moris (Institut de biologie intégrative de la cellule, I2BC), Sarah Gallois-Montbrun (Inserm / Institut Cochin / Univ. Paris-Cité), Olivier Namy (I2BC) et Etienne Decroly (Architecture et fonction des macromolécules biologiques, AFMB).
• Les nouvelles perspectives sur les mécanismes de transcription et de latence du VIH-1, abordées le 23 septembre par Marc Lavigne (Institut Pasteur), Olivier Rohr (Institut de biologie moléculaire et cellulaire, IBMC) et Stéphane Emiliani (Inserm / Institut Cochin / CNRS / Univ. Paris-Cité).
• Ainsi que l’immunité des muqueuses contre les virus, le 25 novembre, avec Lisa Chakrabarti (Institut Pasteur) et Nathalie Dejucq-Rainsford (Institut de recherche en santé, environnement et travail, IRSET).

Et le 3 novembre 2025, le GRS a également accueilli Rahm Gummuluru, professeur à la Boston University School of Medicine, pour une présentation portant sur l’activation de l’immunité innée par le VIH-1. Enregistrée au département Virologie de l’Institut Pasteur, elle est à retrouver sur la chaîne YouTube de l’ANRS MIE :

Pour en savoir plus

L’historique de toutes les réunions du GRS et la liste de chaque intervenante et intervenant sont à découvrir sur le site de l’Institut Pasteur :

GRS à l’Institut Pasteur